Tuesday, December 14, 2010

Quelques statistiques

Les maisons individuelles seules ou non contiguës, dans le bilan d'octobre des mises en chantier pour les agglomérations québécoises de 10 000 habitants et plus, sont terrassées par les logements collectifs (77 %).




En effet, la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), dans ses plus récentes données, recense, le mois passé, à peine 902 mises en chantier (23 %) de maisons seules. Et, facteur aggravant, une diminution de 28 % pour le même mois de 2009.



En revanche, le décompte des logements collectifs est de 2994, pour une valorisation de 49 % sur l'an passé. Ce qui, finalement, se traduit par une augmentation de 19 % (à 3896) de l'ensemble des mises en chantier au Québec, en octobre.



Mais, jusqu'à présent, en 2010, c'est la copropriété qui soutient le rythme de construction des logements collectifs. «Ce créneau profite d'une clientèle double : les retraités et les premiers acheteurs», trouve l'économiste principal de la SCHL pour le Québec, Kevin Hughes.





Selon lui, le mauvais sort qui s'acharne sur les maisons seules, dont «le régime est d'ailleurs en baisse depuis longtemps», est attribuable à une force conjoncturelle telle un marché de la revente moins tendu, d'une part; à un facteur structurel comme «la présence de produits d'habitations plus abordables qui lui font concurrence, telles les copropriétés», d'autre part.



À telle enseigne, au reste, que dans les agglomérations de 50 000 habitants et plus, les logements en copropriété ont été le moteur principal de la croissance. «Elles sont passées de 666 en octobre 2009 à plus de 1400 en octobre 2010.» Époustouflant.

 ( Merci à Gilles Angers, du journal   Le Soleil )

Monday, November 22, 2010

Constructions neuves : Votre Courtier Denise Grandchamp

SUPERBE COTTAGE JUMELÉ 3 CHAMBRES À CONSTRUIRE, NOUVEAU DÉVELOPPEMENT EN PLEINE EXPANSION. ÉCOLE À PROXIMITÉ, PROJET D'UNE GARDERIE À CONSTRUIRE. SUR LE PROJET IL Y A UN LAC ARTIFICIEL. FAITES VITE! VENEZ VISITER NOS MAISONS MODÈLES.
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Approvisionnement en eauMunicipalité
Avec compteur d'eau
Énergie pour le chauffageÉlectricité
GarageIntégré
RevêtementsVinyle
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Sous-sol6 pieds et plus
Partiellement aménagé
StationnementExtérieur 2
Au garage 1
Système d'égoûtsMunicipal
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Commentaires
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Monday, November 8, 2010

Jean-Claude Hillion, Votre Courtier Immobillier à Ahunstic-Cartierville

 M. Jean-Claude Hillion , Courtier Immobilier dans le Secteur Ahunstic-Cartierville vous explique ce qu'il peut faire pour vous.


1- MON ÉQUIPE = MEILLEUR SERVICE
Mon adjointe, Ysabelle Leduc, avec plusieurs années d'expérience, se distingue de façon professionnelle et remarquable dans le service à la clientèle.
Me décrire : honnête, enthousiaste et confiant, possède 26 années d’expérience, souci de toujours me perfectionner, pour offrir un service meilleur et efficace (prix).
Méthode Mike Ferry. La plus grosse entreprise de formation immobilière au monde pour agent d’expérience, forte de ses 29 années d’expérience (séminaire, documentation, « coach »).
2- ENGAGEMENTS
Voici les 4 engagements importants dans le but de bien vous encadrer durant la vente de votre propriété.
  • Préqualifier tous les acheteurs.
  • Communiquer avec vous régulièrement afin de vous donner un compte rendu sur les activités de votre propriété.
  • Vous assister pour obtenir et négocier le maximum d’argent $ pour vous.
  • Finaliser la vente de votre propriété à la date que vous avez prévue.
3- MISE-EN-MARCHÉ
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pancarte
réseau MLS
réseau Internet
visite virtuelle
grande banque d’acheteurs et clients référés, qualifiés et régulièrement mise à jour
Plusieurs inscriptions
La Presse
Visite libre
Courrier Ahuntsic, page arrière complète
4 - QUALIFICATIONS DE L’ACHETEUR
Etre à l’écoute en posant les bonnes questions des besoins de l’acheteur.
Et le qualifier afin d’obtenir une pré autorisation hypothécaire.
Qualifier les besoins précis de l’acheteur dans le but de cibler la bonne propriété.
5 - UN PLUS
  • Connaissance du secteur et enthousiasme à le transmettre.
  • J’habite le secteur depuis plus de 48 ans.
  • Écoles du secteur, mes enfants y sont inscrits présentement.
  • Connaissance des services : écoles, garderies, commerces, transports, parcs, endroits stratégiques.
  • Mise-à-jour du marché À VENDRE, VENDU, suivi, commentaires de clients.
6 - PRIX D’EXCELLENCE
  • Meilleur vendeur de RE/MAX Ambiance Inc. depuis 14 ans.
  • 1er agent RE/MAX (région de Montréal) 2000, 2001 et 2002.
  • 7ième rang au classement (province de Québec) en 2002, sur 2024 agents.
  • Membre du Hall of Fame.
  • Membre du Life Time Achievement.
Jean-Claude Hillion, Courier immobilier 
514.382.5000
jean-claude.hillion@remax-quebec.com
Re/Max Ambiance inc.
10,310 boul. St-Laurent
Montréal, Qc. H3L 2P2

Wednesday, October 27, 2010

Votre Courtier par excellence : Jean-François Bourque

Avec une expérience de 20 ans dans le commerce du meubles et un diplôme en publicité de l'Université de Montréal, Jean-François Bourque est maintenant dans le domaine passionnant de l'immobilier.


Il souhaite vous aider à vivre une expérience immobilière, agréable, profitable et sécuritaire que ce soit pour un achat ou une vente.


En retour de votre confiance, il compte bien être à l'écoute de vos besoins pour vous guider sans pression dans vos futures transactions.

D'ailleurs, Jean-Francois vous invite à visiter ce magnifique condo, en plein coeur de Laval.  Les détails de cette propriété, ( # MLS 8392605 )  peuvent être vu à cette adresse :  http://ow.ly/30wa0

Jean-François Bourque

623 Carré Dufault
Sainte-Thérèse (Québec)          
J7E 4C7
Tel: (514) 527-9797
Fax: (450) 430-4849
E-mail:
jfbourque@live.ca




Thursday, October 14, 2010

Gina Lavoie, Courtier Immobilier

Gina Lavoie, courtier immobilier,est une professionnelle d'expérience très active dans le secteur du marché Atwater (sud-ouest) depuis maintenant 24 ans. Connue pour son habileté à communiquer et pour son approche honnête et efficace, elle mets à profit son expertise et ses connaissances du marché immobilier au service de ses clients. Ayant vécu et travaillé dans cette région, elle peux négocier le meilleur prix qui soit et aussi vous offrir d'excellents conseils.

Diplômée en administration, Gina a travaillé dans ce domaine avant de s'interesser à l'immobilier. Elle a également acquis plusieurs années d'expérience dans une entreprise familliale dans le commerce de détail. Gina a débuté sa carrière avec " LE PERMANENT " et s'est joint au GROUPE SUTTON en 1995.

Sa priorité est votre satisfaction; elle vous guide dans le processus d'achat ou de vente, du début à la fin, en portant une attention particulière à tous les détails de la transaction. Elle a, à son actif de très nombreuses ventes dont plus de 29 transactions déjà cette année. On dit qu'elle travaille vraiment pour ses clients et c'est vrai. Elle saura vous offrir un traitement à la hauteur de vos attentes et hautement personnalisé.


Pour une transaction satisfaisante en toute tranquilité d'esprit, contactezGina Lavoie
Office : 514-861-3000
Fax : 514-364-3649
Courriel: glavoie@sutton.com

Monday, July 26, 2010

Les Québécois sont ceux qui visitent le moins de maisons

Les Québécois sont ceux qui visitent le moins de maisons avant de procéder à l'achat d'une première propriété et sont pourtant, au pays, les plus susceptibles d'y demeurer toute leur vie, selon le premier Rapport TD Canada Trust sur les acheteurs d'une propriété.

Cette conclusion découle d'un sondage mené auprès de Québécois ayant acheté une première propriété dans les deux dernières années ou ayant l'intention de le faire dans les deux prochaines années.

La recherche d'une propriété pour l'acheteur du Québec se déroule en moyenne sur une période d'un peu plus de huit mois, dit la TD, et comprend la visite de plus de 10 maisons (comparativement à la moyenne nationale de 13 maisons).

Une fois qu'ils ont acheté leur première maison, plus du quart comptent ne jamais la revendre (26% contre 16% à l'échelle nationale) et un autre quart ont l'intention d'y demeurer pendant au moins dix ans.

(La Presse Canadienne)



Comme premier achat, six acheteurs sur 10 ont fait l'acquisition, ou comptent le faire, d'une maison unifamiliale et 81% veulent une maison neuve.

Quatre-vingt-six pour cent des acheteurs d'une première propriété au Québec ont contracté ou comptent contracter un prêt hypothécaire, alors que seulement 23% des répondants comptent avoir ou détiennent déjà un prêt hypothécaire ordinaire.

Les Québécois sont les acheteurs du pays les plus susceptibles de faire une mise de fonds de moins de 20 pour cent (77% contre 70% à l'échelle nationale). Ils sont également les moins enclins au pays à s'inquiéter de pouvoir se payer leur maison si jamais les taux d'intérêt augmentent (47% contre 59% à l'échelle nationale).

Trois quarts des Québécois déclarent verser autant qu'ils peuvent comme mise de fonds et 56% affirment avoir épargné ou comptent épargner pendant plus de deux ans pour l'achat d'une propriété.

D'ailleurs, les Québécois sont plus nombreux qu'ailleurs au pays à épargner pendant au moins cinq ans en prévision de l'achat d'une propriété (26% contre 20% à l'échelle nationale).

Les données du Rapport TD Canada Trust sur les acheteurs d'une propriété ont été recueillies dans le cadre d'un sondage en ligne personnalisé mené par le groupe Environics Research entre le 8 et le 21 juin 2010, auprès de 1000 répondants, dont 240 provenaient du Québec. Tous les participants avaient soit acheté leur première propriété dans les 24 derniers mois, ou projetaient de le faire dans les 24 prochains mois.

Friday, June 11, 2010

Un déménagement planifié selon la règle 3RV

Pour préserver la nature qui nous entoure, on doit agir quotidiennement et même lorsque l’on déménage! Un déménagement planifié selon la règle 3RV

La règle écologique des 3RV — Réduction — Réemploi — Recyclage — Valorisation — s’applique aussi à notre déménagement. Voici donc quelques trucs pour l’appliquer.

Réduction

La réduction est à la source de la règle. Comme la planète a un maximum de déchet qu’elle peut absorber, il en tient à nous de lui filer un coup de pouce en minimisant les déchets.

• Évitez l’achat inutile de boîtes ou de papier. Utilisez vos valises et vos sacs que vous avez à la maison.

• Pensez à votre déménagement et planifiez vos achats. Par exemple, il n’est pas recommandé d’acheter un kilo de farine à quelques jours du déménagement. C’est encombrant à transporter et les gens sont souvent appelés à jeter leur reste au lieu de les apporter à leur nouvelle demeure.

• Évitez l’achat de produits dangereux à quelques jours du déménagement. Veillez plutôt à utiliser vos vieilles bouteilles et attendez d’être dans votre nouvelle résidence pour faire le plein.

• Pour emballer vos objets fragiles, utilisez vos serviettes et votre lingerie.

Réemploi

Le réemploi vise à réutiliser ce qui est encore bon. Lorsqu’on déménage, d’autres sont sûrement intéressés à nous débarrasser de ce dont on ne veut plus.

• Évitez de laisser vos vieux meubles sur le bord de la rue. Rien ne garantit qu’ils plairont à quelqu’un. De plus, la pluie et les animaux peuvent les endommager.

• Misez sur les banques de réemploi. La plupart des villes et des éco-centres des municipalités offrent ces services.

• Organisez une soirée d’échange entre vos proches et vos amis. Vous ferez ainsi profiter de vos biens les gens que vous aimez.

• Organisez une vente-débarras.

• Échangez vos boîtes et papiers de déménagement avec vos connaissances qui déménagent aussi.

Recyclage

Le recyclage est le «R» le plus utilisé par les citoyens. Il s’agit de transformer un déchet en nouveau bien de consommation. Le recyclage est aussi très pratique lorsqu’on déménage.

• Recyclez le papier et les boîtes de déménagement.

• Ne jetez pas vos produits dangereux. Les éco-centres des municipalités québécoises offrent des programmes pour disposer de ces déchets.

• La plupart des municipalités organisent des collectes itinérantes de déchets dangereux.

• Recyclez la vieille peinture. La majorité des quincaillers Rona offrent ce service www.rona.ca

Valorisation

La valorisation se fait généralement par le compostage. Pensez donc à vous munir d’un composteur dans votre nouvelle demeure! De plus, certaines municipalités, telles Sherbrooke ou Victoriaville, offrent des services de cueillette de compostage. Profitez-en!

Pour en connaître davantage, consultez le site web du Jour de la Terre www.jourdelaterre.org ou celui de la fondation québécoise en environnement www.fqe.qc.ca. Pour trouver vos éco-centres, visitez le site web de votre municipalité. Les résidents de la métropole peuvent aussi compter sur leur éco-quartier comme ressource supplémentaire.

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Merci à Ariane : Conseils pour un déménagement simple


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Wednesday, May 19, 2010

Entretien de la pelouse: l'OPC appelle à la prudence





Si l'entrepreneur emploie des pesticides dans le traitement de votre gazon, il doit être titulaire d'un permis du ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs.

L'Office de la protection du consommateur (OPC) constate l'imminence des offres de service des entreprises d'entretien de gazon et appréhende leurs pratiques commerciales.

Voici, selon l'organisme, comment distinguer les bonnes entreprises des mauvaises parmi celles qui viendront frapper à votre porte, qui vous téléphoneront ou que vous joindrez vous-même par téléphone à la suite d'une petite annonce parue dans un journal.


L'entrepreneur doit, au départ, avoir un permis de l'OPC. Demandez-lui de le produire. De surcroît, s'il emploie des pesticides dans le traitement de votre gazon, il doit, encore là, être titulaire d'un permis. Cette fois, du ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs.


Ayez les «oreilles dans le crin». Certains commerçants vous promettent le gazon idéal ou jurent qu'ils n'emploient, pour son traitement, que des produits naturels, sans danger pour les humains et l'environnement.

Ne les croyez pas sur parole. Car il peut arriver que les résultats promis ne soient pas au rendez-vous ou qu'on ne vous ait pas dit toute la vérité. «La Loi sur la protection du consommateur interdit aux commerçants d'omettre un fait important ou encore de faire des représentations fausses ou trompeuses», peut-on lire dans un communiqué de l'Office transmis au Soleil, cette semaine.

Travail non sollicité

Des entreprises ne manquent pas du culot. Sans que vous n'ayez accepté leur proposition faite par téléphone, ils viennent, malgré vous, faire le travail. Ils pousseront l'outrecuidance jusqu'à laisser une facture dans votre boîte aux lettres, vous relanceront même, plus tard, avec un nouvel état de compte comprenant, cette fois, des frais de retard.

L'OPC est formel : la Loi interdit à un commerçant d'exiger quelque somme que ce soit pour un bien qu'il a fait parvenir à un consommateur ou un service qu'il lui a rendu sans que celui-ci ne l'ait demandé

Agentsparsecteur.com remerci M. Gilles Angers, Journaliste au journal Le Soleil

Tuesday, April 27, 2010

Vente des maisons de luxe à la hausse

Agents par Secteur est toujours la recherche d'articles concernant l'immobilier. Nousa remercions La Presse Canadienne pour le Texte qui suit :

Les ventes de maisons de luxe ont bondi au premier trimestre, selon la firme immobilière Re/Max, quand des acheteurs bien nantis ont décidé de profite des conditions favorables du marché.

La firme ajoute que neuf des 13 marchés examinés ont établi de nouvelles marques de dynamisme pendant le premier trimestre. Une poussée de 700% a ainsi été enregistrée à Kelowna, en Colombie-Britannique, contre 300% à Montréal et 275% à Victoria.


Re/Max explique qu'une économie en meilleure santé, une amélioration des finances personnelles, l'immigration et l'augmentation des investissements étrangers ont tous contribué à la hausse des ventes des maisons de luxe.



La grande région de Vancouver occupe le sommet du palmarès au chapitre des prix. Une maison de luxe de premier échelon s'y détaille 2 millions de dollars, contre 1,75 million dans les grandes régions de Montréal et de Toronto.


C'est aussi dans la grande région de Vancouver qu'on retrouve la maison la plus dispendieuse vendue au premier trimestre - 10,06 millions pour une propriété de 11 600 pieds carrés.


Le vice-président exécutif de Re/Max pour le Québec, Sylvain Dansereau, prédit que le retour à la santé économique se traduira par une hausse du nombre d'individus


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Friday, April 9, 2010

La confiance des acheteurs soutient le marché immobilier malgré une reprise inégale au Canada

- Dans certaines villes, les marchés sont survoltés alors que d'autres affichent une croissance modeste -

TORONTO, le 8 avr. /CNW/ - Après avoir connu un départ soutenu, malgré une reprise géographiquement inégale en début d'année, le marché immobilier canadien s'est stabilisé en 2010 selon l'Étude sur les prix des maisons de Royal LePage. La reprise économique, suite à la récession qui a débuté au troisième trimestre de 2009, s'est poursuivi au premier trimestre de cet année. Pendant que le volume des ventes et les prix étaient à la hausse comparativement à l'année dernière, un coup d'œil aux deux dernières années qui ont marqué le début et la fin de la récession démontre que certaines villes ont subi l'effet montagnes russes. C'est-à-dire une forte augmentation suivie par une diminution des prix, pendant que certaines régions n'ont connu aucune baisse des prix moyen des propriétés.

"Le premier trimestre de 2010 s'est poursuivi là où 2009 s'est terminé, avec un grand nombre de Canadiens enthousiastes à prendre part à un marché immobilier résidentiel ravivé," affirme M. Phil Soper, président et chef de la direction, Services immobiliers Royal LePage. "Le marché immobilier est l'un des premiers secteurs où on constate une reprise de croissance suite à une période de récession difficile. Il a principalement bénificié des faibles taux pour les prêts et du regain de confiance des consommateurs envers le marché."

Les études réalisées par Royal LePage montrent que le prix des types d'habitation clés sont à la hausse. Au Canada, le prix moyen d'une maison individuelle de plain-pied a augmenté de onze pour cent par rapport à l'an dernier, passant à 329 209 $ au cours du premier trimestre, tandis qu'une maison standard à deux étages a enregistré une hausse de 10,3 pour cent pour atteindre 365 141 $, et le prix d'un appartement en copropriété, de catégorie standard, a bondi de 10,9 pour cent, passant à 228 963 $.

Alors que certains analystes expliquent la hausse du prix des maisons des 12 derniers mois comme étant un boom immobilier à l'échelle nationale, une analyse de Royal LePage, basée sur des données s'échelonnant du premier trimestre de 2008 au premier trimestre de 2010, révèle trois différentes tendances quant aux prix des maisons dans les principales villes canadiennes :

- des fluctuations marquées dans les prix tantôt accusant des baisses

significatives, tantôt des hausses spectaculaires pour atteindre des

niveaux d'avant la récession (Toronto, Vancouver et Victoria);

- des marchés affichant une croissanceconstante, qui de façon générale

ont résisté au ralentissement, sur une période de deux ans qui s'est

traduite par une hausse progressive de prix (Halifax, Ottawa, Regina,

Saint John, St. John's et Winnipeg);

- des marchés stables, où les prix des maisons sont demeurés

sensiblement les mêmes (Calgary, Edmonton, Moncton et Montréal).

"Les moyennes nationales issues du rapport du premier trimestre ne sont pas particulièrement représentatives pour dresser un portrait du marché immobilier au pays. Les données sur l'immobilier des deux dernières années démontrent des différences considérables entre les villes quant aux diverses réactions face à la récession," déclare M. Soper. "À Vancouver et à Toronto, par exemple, la fluctuation spectaculaire du marché reflète un niveau d'irrationalité dans les marchés : anormalement craintif face à un marché moins fort et démesurément enthousiaste lorsque le vent tourne. Montréal est l'exemple d'une ville où le marché était beaucoup plus stable et les propriétaires semblaient plutôt satisfaits avec le rythme plus lent du changement."

"Même dans la période la plus active du marché, l'inévitable augmentation des taux d'intérêts et des prix moyens des maisons sera maître de la demande lorsque l'abordabilité se fera plus rare. Les prix des propriétés continueront de grimper, mais le taux d'appréciation devrait diminuer de façon continue, mois après mois, durant le reste de l'année puisque le marché se stabilisera," conclut Phil Soper.

Pour visionner le graphique régional des données, veuillez visiter : http://files.newswire.ca/29/rlpFRE.pdf

En plus d'une hausse marquée des prix au cours du premier trimestre de 2010, le volume de ventes s'est accru au cours des douze derniers mois. En effet, la demande à la hausse engendrée par des contraintes au niveau de l'offre des maisons sur le marché en 2009, ajoutée aux températures clémentes que nous avons connues pour la saison, a provoqué une forte hausse des ventes de maison sur les plus importants marchés immobiliers canadiens entre les mois de janvier et mars.

Données régionales de l'Étude sur le prix des maisons

La plus récente Étude sur le prix des maisons diffusée par Royal LePage démontre que la plus forte croissante sur douze mois se situe à Vancouver, où le prix des maisons individuelles de plain-pied a connu une augmentation de 21,8 pour cent au cours de l'année 2009 pour atteindre 906 045 $, tandis que celui des propriétés standard à deux étages a bondi de 19,2 pour cent passant à 987 500 $ et les appartements en copropriété, de catégorie standard, ont augmenté de 15,7 pour cent, se situant à 470 500 $. En raison d'une forte demande, les ventes des maisons pour le premier trimestre ont presque doublé à Vancouver, comparativement à l'année précédente. À Victoria, les prix des maisons ont également enregistré une forte croissance au cours de la dernière année, les maisons individuelles de plain-pied affichant une hausse de 12,9 pour cent, pour atteindre 511 400 $.

En Ontario, les prix ont grimpé pour tous les types d'habitation clés, et ce, dans tous les marchés ayant fait l'objet d'analyses par Royal LePage. À Toronto, les maisons individuelles de plain-pied et les propriétés standard à deux étages affichent les gains les plus marqués. Dans la Région du Grand Toronto, les prix des maisons ont augmenté en moyenne de 10 à 13,3 pour cent par rapport à l'année précédente; les maisons individuelles de plain-pied affichant un prix moyen de 459 107 $ au cours du premier trimestre. À Ottawa, les prix ont connu une hausse de 8 à 11,1 pour cent par rapport à l'année précédente. Ainsi, le prix moyen des propriétés standard à deux étages est passé à 346 833 $ au cours du premier trimestre.

À Montréal, où le prix moyen des maisons a grimpé entre 7,2 et 7,6 pour cent par rapport au douze mois précédents, le prix d'une propriété standard à deux étages était de 355 109 $ au premier trimestre de 2010. Le marché immobilier a été extrêmement actif sur l'Île de Montréal. Le faible inventaire, la forte présence des premiers acheteurs et le désir des consommateurs d'acheter une propriété avant la hausse attendue des taux d'intérêts ont contribué à l'augmentation du prix moyen des maisons au premier trimestre de 2010.

Dans les Maritimes, l'appréciation du prix des maisons s'est fait plutôt modeste, à l'exception de St. John's, à Terre-Neuve, où les trois types d'habitation clés ont connu de fortes hausses de prix se situant atour de 17,6 ou 18,4 pour cent par rapport à l'année 2009. À St. John's, le prix moyen d'une propriété standard à deux étages a grimpé à 313 775 $ au cours du premier trimestre de 2010. La ville de Saint John, au Nouveau-Brunswick, a également affiché une importante augmentation du prix de ses maisons individuelles, en particulier celui des maisons de plain-pied qui accuse une hausse de 16 pour cent par rapport à l'année précédente, à 233 775 $. Il en va de même également pour Halifax où les prix de tous les types d'habitation ont grimpé comparativement à l'année précédente, les propriétés standard à deux étages affichant un gain de 6,8 pour cent à 278 267 $.

La solide performance économique qu'a connue la Saskatchewan a continué à soutenir le marché immobilier à Regina, où le prix moyen d'une propriété standard à deux étages a augmenté de neuf pour cent, passant à 267 000 $ au premier trimestre de 2010. Le nombre limité de propriétés à vendre dans cette ville - le niveau de l'offre se situant entre 60 à 70 pour cent par rapport à ce qu'il était en 2009 - engendre des offres multiples. Entre-temps, Saskatoon connaît une situation de marché similaire et des pressions à la hausse s'exercent sur les prix : un appartement en copropriété, de catégorie standard, affiche une hausse de 28,3 pour cent pour atteindre 240 000 $. À Régina, les prix des maisons de plain-pied ont augmenté de 4,3 pour cent, tandis que ceux des propriétés standard à deux étages ont grimpé de 9 pour cent.

À Winnipeg, les prix moyens ont grimpé entre 9,6 et 11,9 pour cent comparativement à l'année précédente, le prix des maisons individuelles de plain-pied atteignant 259 313 $ au cours du premier trimestre. La hausse des prix est à la fois attribuable au nombre limité de propriétés à vendre et à l'attrait marqué des acheteurs d'une première maison pour les taux d'intérêt avantageux.

En Alberta, les marchés immobiliers ont continué à négocier la reprise au cours du premier trimestre de l'année. Bien que les prix soient encore plus bas qu'avant la récession, tous les types d'habitation à Calgary ont connu, au cours des douze derniers mois, des hausses de prix allant de sept pour cent à plus de 10,6 pour cent. À Edmonton, les prix des maisons sont demeurés stables ou ont augmenté par rapport à l'année précédente. Les propriétés standard à deux étages ont accusé les plus fortes hausses, dont une appréciation de 5,2 pour cent ect…

Renseignements: David Kaiser, Premier vice-président, Fleishman-Hillard Canada, (416) 645-3682; Anna Lilly, Vice-présidente, Fleishman-Hillard Canada, (604) 505-9048; Tammy Gilmer, Directrice, Relations publiques et Communications nationales, Royal LePage Real Estate Services, (416) 510-5783

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Wednesday, March 24, 2010

Les Canadiens ressentent plus de pression à acheter une maison plus tôt


TORONTO - De récents acheteurs d'une première maison ont dit avoir ressenti de la pression pour acheter plus tôt devant les perspectives d'une hausse des prix et des taux d'intérêt. La Banque de Montréal a fait état d'un sondage qui a permis de constater que ces facteurs avaient influé sur leur décision d'entrer sur le marché.

Lynne Kilpatrick, première vice-présidente aux Services bancaires aux particuliers chez BMO, affirme qu'il y a nettement un sentiment d'urgence chez les acheteurs de maisons. Selon elle, tandis que nous encourageons les Canadiens à chercher à réaliser leur rêve de posséder leur maison, il est facile d'être entraîné par les émotions de l'achat, ce qui peut pousser à mettre trop de pression sur le budget.

Les résultats de ce sondage ont été publiés alors que la Banque Royale rendait publique mercredi sa propre enquête annuelle sur les tendances du marché résidentiel. Selon cette enquête, 64 pour cent des Canadiens s'attendent à une hausse des taux hypothécaires au cours de l'année. Les détenteurs de prêt hypothécaire, dans une proportion à peu près égale, soit 66 pour cent, se disent préoccupés par la hausse possible des taux. Environ les trois quarts, ou 73 pour cent, des propriétaires estiment par ailleurs qu'il est très important de planifier afin de s'assurer qu'ils seront toujours en mesure d'effectuer leurs versements hypothécaires, advenant une hausse des taux.

Pour Marcia Moffat, chef du financement sur valeur nette immobilière chez RBC, le meilleur conseil aux propriétaires préoccupés par une possible hausse des taux est de revoir régulièrement avec un conseiller financier les produits hypothécaires qu'ils détiennent, afin de se préparer en vue de changements éventuels.

Signe encourageant, toutefois, six détenteurs de prêt hypothécaire sur dix ont profité des taux d'intérêt actuels peu élevés pour rembourser encore plus de capital sur leur prêt hypothécaire. Afin de réduire le capital de leur prêt hypothécaire, 18 pour cent des propriétaires affirment qu'ils ont effectué un versement forfaitaire, et 16 pour cent, qu'ils ont effectué des versements en double


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Thursday, March 4, 2010

Québec : la meilleure période pour vendre et acheter

Cet article est apparu dans : LaVieImmo.com, portail Immobilier le 3 mars 2010

Québec : la meilleure période pour vendre et acheter

Pleine forme pour le marché immobilier du canada français. Les ventes en région font en effet état d’une hausse de 11% pour le mois dernier.

(LaVieImmo.com) - D’après la dernière étude réalisée par La Chambre immobilière de Québec (CIQ), la Rive-Nord de la ville de Québec annonce une augmentation de 12% des ventes totales, avec 628 propriétés vendues, tandis que la hausse atteint 6 % du côté de la Rive-Sud, pour 120 transactions. « La copropriété est encore une fois le type de propriété qui affiche la plus importante hausse des ventes, avec 21% d’augmentation. Le plex (appartement sur un seul étage) a aussi observé une remontée avec une hausse de 16% des ventes. L’unifamiliale fait également bonne figure avec 6% d’augmentation », souligne Marilyn Préfontaine, porte-parole de la CIQ.

Fabienne Malenfant

Relationiste

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